Elleaussi trĂšs prĂ©cieuse, parce que nous ne la rĂ©coltons qu’en trĂšs petite quantitĂ© — il faudra Ă  une ruche une saison entiĂšre pour produire un petit pot de 25 g de propolis ! La rĂ©colte de la propolis de grattage. Le deuxiĂšme type de propolis que nous rĂ©coltons Ă  la miellerie, c’est la propolis de grattage. Sommairedes astuces : 1. DiffĂ©rence entre une ruche et un essaim d’abeille. 2. Éloigner les abeilles du nid avec de la fumĂ©e. 3. Un apiculteur pour enlever un nid d’abeilles. 4. Ne jamais lancer d’eau ou d’objets en direction des abeilles. 6. Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Produire des essaims Novembre 2012 Au printemps, lorsque vos colonies sont en pleine expansion, puis jusqu’en juillet, la fin de la pĂ©riode de fĂ©condation des reines, vous pouvez produire des essaims. Il est conseillĂ© de produire ces essaims, puisque naturellement, la colonie va essaimer au minimum une fois par an. C’est son moyen de reproduction. Autrement dit soit vous produisez vos essaims et renouvelez votre cheptel, soit l’essaim partira de toutes façons, et il sera perdu pour vous. Autre bonne raison, une colonie avec une reine trop ĂągĂ©e sera plus susceptible d’ĂȘtre improductive, ou de dĂ©velopper des maladies. Il est donc nĂ©cessaire de renouveler les reines, la formation d’essaims est un moyen simple de le faire. On peut compter sur un remĂ©rage autonome de la colonie, mais cela ne fonctionne pas toujours et c’est donc risquĂ©. Quelques indices vont vous permettre de choisir les ruches sur lesquelles vous pourrez prĂ©lever vos essaims. Le couvain est beau, il couvre au moins six cadres La ruche est trĂšs populeuse, la place commence Ă  manquer Les abeilles font la barbe sur le devant de la ruche Si la colonie produit des cellules royales, il est urgent de prĂ©lever un essaim, sans quoi il va partir trĂšs rapidement. Plusieurs techniques existent. Sans en faire la liste exhaustive, en voici quelques unes. MĂ©thode classique La mĂ©thode classique est de prĂ©lever deux cadres de couvain, en faisant bien attention Ă  ne pas prĂ©lever la reine. Sur vos deux cadres de couvain, un peut ĂȘtre operculĂ©, mais le plus important est d’y mettre un cadre de couvain jeune, avec des Ɠufs et de jeunes larves de moins de trois jours. C’est Ă  partir de ces larves que les abeilles vont Ă©lever la nouvelle reine. AprĂšs avoir disposĂ© vos cadres de couvain dans votre ruche ou ruchette, ajoutez un ou deux cadres de nourriture miel et pollen. Vous pouvez vous en passer et choisir de nourrir artificiellement au sirop, mais ce nourrissement sera Ă©videmment moins naturel. Il vous faudra aussi un paquet d’abeilles, au minimum l’équivalent des deux cadres couverts d’abeilles. Ce sont ces nourrices qui vont Ă©lever votre couvain et votre reine, elles ne doivent pas manquer. Dans la ruche sur laquelle on a prĂ©levĂ© les cadres, on regroupera les cadres de couvain au centre, et de chaque cĂŽtĂ© de ce couvain, on mettra des cadres de cire gaufrĂ©e, puis en rive la nourriture. Si la ruche est vraiment trĂšs active, on pourra se permettre d’insĂ©rer au milieu du couvain un cadre de cire gaufrĂ©e. MĂ©thode "naturelle" Elle consiste Ă  laisser les abeilles produire des cellules royales avant de prĂ©lever l’essaim. On prĂ©lĂšvera comme classiquement deux cadres, Ă  la diffĂ©rence qu’on choisira un cadre sur lequel des cellules royales sont prĂ©sentes parmi ces cadres. A l’inverse, on dĂ©truira les cellules royales restante dans la ruche sur laquelle on a prĂ©levĂ© les cadres. Le gros avantage est que l’essaim sera plus rapidement productif, puisque la reine naitra plus vite. En revanche l’inconvĂ©nient principal est qu’il faut ĂȘtre trĂšs attentif, ne pas laisser les reines naitre dans la ruche, et intervenir vite. Cela nĂ©cessite des visites trĂšs rĂ©guliĂšres, et donc n’est possible que si l’on a peu de ruchers Ă  visiter. MĂ©thode rapide VoilĂ  la mĂ©thode la plus rapide que je connaisse. On prend des cadres pleins d’abeilles issus de la ruche mĂšre, que l’on va distribuer dans plusieurs ruchettes. Ces cadres devront comporter couvain operculĂ© et surtout oeufs de moins de trois jours, pour assurer un Ă©levage de reine. On fait une marque similaire sur nos ruches et ruchettes, afin de savoir d’oĂč sont issus les essaims. On ne cherche pas la reine. On dĂ©place simplement nos essaims produits Ă  plus de 3 km. 48h plus tard, on vĂ©rifiera quelle colonie a de la ponte, on saura alors oĂč est la reine. Si on doit introduire des reines, on pourra le faire Ă  cette occasion. MĂ©thode "facile" Avec cette mĂ©thode, on ne cherche pas la reine, ce qui est un gain de temps non nĂ©gligeable. On prĂ©lĂšve deux cadres de couvain comme avec les mĂ©thodes prĂ©cĂ©dentes, mais on ne prĂ©lĂšve pas d’abeilles. Rappelez vous qu’il vous faudra soit du jeune couvain, soit des cellules royales. Ces cadres seront placĂ©s sans abeilles dans un corps de ruche sans plancher. On placera sur la ruche dans laquelle on a prĂ©levĂ© une grille Ă  reines. Sur cette grille Ă  reine, on placera le corps dans lequel on a mit nos cadres afin de constituer l’essaim, de maniĂšre Ă  ce que les deux corps communiquent. On referme ensuite notre double ruche », et on la laisse ainsi jusqu’au lendemain. La nuit, les abeilles vont naturellement venir rĂ©chauffer le couvain dans notre seconde ruche, la grille Ă  reine empĂȘchant la reine de monter dans ce corps. Le lendemain, on rĂ©cupĂšre notre ruche peuplĂ©e, on lui ajoute un plancher et un toit, et notre essaim est constituĂ©. L’inconvĂ©nient de cette mĂ©thode est qu’elle nĂ©cessite deux passage sur le rucher, en revanche le gain de temps Ă  la constitution des essaims est consĂ©quent. Si vos ruchers ne sont pas trop Ă©loignĂ©s elle est trĂšs intĂ©ressante. Que faire des essaims? Les essaims produits doivent ĂȘtre sĂ©parĂ©s de la ruche mĂšre, sans quoi les abeilles reviendront vers cette derniĂšre. Deux mĂ©thodes existent. La premiĂšre est de placer ces nouveaux essaims dans un rucher Ă©loignĂ© de plus trois kilomĂštres du rucher d’oĂč il provient. En effet les abeilles savent se repĂ©rer et retrouver leur ruche d’origine sur ce rayon. En les Ă©loignant Ă  cette distance, elles seront perdues et adopteront le nouvel emplacement. La seconde mĂ©thode est de le mettre en cave, dans un lieu frais, ruche fermĂ©e, durant 48 heures. On dit qu’on formate » la ruche. AprĂšs 48 heures enfermĂ©es, on peut replacer la ruche dans le rucher d’origine. Attention Ă  la dĂ©rive, dans tous les cas. Placer une ruche orpheline Ă  cĂŽtĂ© de ruches avec reine peu favoriser la dĂ©rive des premiĂšres vers les secondes. Elles sont attirĂ©es par les phĂ©romones des reines. On veillera donc Ă  les mettre Ă  distance, voir mieux, Ă  avoir un rucher dĂ©diĂ© Ă  la fĂ©condation. Combien peut-on produire d'essaims? Autant que possible parait une bonne rĂ©ponse. Vous ne connaissez pas par avance vos pertes hivernales, et mieux vaut avoir trop de cheptel, quitte Ă  Ă©liminer les non valeurs par la suite, ou vendre des essaims qui seront de trop. Vous pourrez facilement produire un essaim par ruche, sachant que toutes les fĂ©condations ne seront pas rĂ©alisĂ©es correctement. Vous pouvez espĂ©rer en obtenir la moitiĂ© de bonnes, donc reproduire 50% de votre cheptel. En ayant recours au nourrissement des essaims rĂ©guliĂšrement, et en rĂ©duisant Ă  deux le nombre de cadres de couvain de vos essaims, vous pourrez en produire beaucoup plus, reste Ă  voir la qualitĂ© de vos essaims. Certains apiculteurs arrivent Ă  produire quatre Ă  six essaims avec une ruche. Une colonie ayant passĂ© toute une annĂ©e dans une ruche ou dans un arbre creux atteint son apogĂ©e Ă  un certain moment de la belle saison d'Avril Ă  Juillet qu'on appelle aussi la saison d'essaimage. L'essaimage annuel est la maniĂšre naturelle des abeilles pour prolifĂ©rer. Une colonie peut en jeter » un essaim primaire, moitiĂ© de la colonie avec sa vieille » reine ; qui peut avoir un an ou deux, trois... voire cinq ! un deuxiĂšme essaim secondaire, plus petit bien sĂ»r, avec une ou plusieurs reines vierges nouvellement nĂ©es un troisiĂšme... un quatriĂšme... Ces nombreux essaims ne sont pas la rĂšgle mais c'est trĂšs courant. La souche » est ensuite bien appauvrie et parfois rendue orpheline car le dernier essaim est parti avec la derniĂšre reine... qui n'est pas revenue comme il se devrait. Ce prĂ©ambule pour indiquer que lorsque l'on trouve un essaim pendu Ă  une branche et ne sachant d'oĂč il vient, ne l'ayant pas vu sortir d'une de ses ruches, on ne peut connaĂźtre l'Ăąge et la qualitĂ© de la reine. Pour un commençant c'est toujours une belle aubaine et pour un expĂ©rimentĂ© toujours l' attrait ludique Ă  le recueillir. Dans un premier temps il faut l'arrĂȘter », le capturer, dans un rĂ©cipient quelconque car un essaim peut repartir comme il est venu dans l'heure ou le quart d'heure qui suit... Et adieu ! Un carton, un gros seau, une caisse Ă  vin peut faire l'affaire... Un panier Ă  abeilles encore mieux bien sĂ»r et Ă  la rigueur la ruche dĂ©finitive ; munie de tous ses cadres entiĂšrement gaufrĂ©s. Une fois avoir secouĂ©, d'un coup sec, la grappe dans le rĂ©cipient on retourne ce dernier sur une toile de sac jute car l'air passe au travers placĂ©e Ă  terre sous l'endroit de sa capture Ă  peu prĂšs, c'est suivant le sol, le plus plat et ras possible et en intercalant une ou deux cales de 4 ou 5 cm d'Ă©pais sur un cĂŽtĂ© entre toile et rĂ©cipient afin de laisser le passage aux abeilles qui vont se regrouper Ă  l'intĂ©rieur si la reine a Ă©tĂ© prise dans le lot. En 15/20mn tout le monde se calme et l'on peut alors, sans attendre la derniĂšre abeille, ficeler la toile de sac Ă  la base en tendant la toile et porter l'essaim dans une cave fraiche et obscure avec toujours des cales, cette fois entre sol et sac, pour l'aĂ©ration. 24h de confinement suffisent Ă  ce que la colonie se calme ; qu'elle perde ce qu'on appelle la fiĂšvre d'essaimage ». Comme il arrive souvent que plusieurs reines vierges soient prĂ©sentes elles font leurs affaires » dans la nuit ce qui calmera tout le monde sinon c'est une cause de fuite si l'on met en ruche trop tĂŽt. Le lendemain nous trouvons une ou plusieurs reines vierges tuĂ©es ou entre-tuĂ©es dans la nuit sur le sac ou grillage assurant l'aĂ©ration. La mise en ruche dĂ©finitive se fera le lendemain juste Ă  la tombĂ©e du jour ; pas trop tard. Disons juste quand le soleil disparaĂźt Ă  l'horizon La mise en ruche classique se fait par le devant de la ruche, en secouant la grappe sur un plan inclinĂ© qui relie le sol Ă  l'entrĂ©e, posĂ© bord Ă  bord, et ne comportant aucun obstacle comme une latte en travers par exemple. En effet dĂšs qu'elles rencontrent une aspĂ©ritĂ© ou un pli de tissu les abeilles se groupent et l'ascension est bien retardĂ©e. Un peu de fumĂ©e dirigĂ©e au cul » du peloton de queue accĂ©lĂšre le mouvement... En tapotant avec un tournevis sur la plaque on transmet des vibrations qui dĂ©cident encore une autre accĂ©lĂ©ration de la montĂ©e. C'est un spectacle dont on ne se lasse pas. Si le mauvais temps se manifestait on peut conserver un essaim 5/6 jours Ă  la cave mais c'est du temps perdu et les mĂątines commencent Ă  bĂątir des constructions qui ne serviront Ă  rien sinon Ă  Ă©puiser leurs provisions de route ». Un nourrisseur avec 1L ou 2 de sirop 50/50 pourra ĂȘtre donnĂ© aprĂšs la mise en ruche car bien qu'un essaim se munisse de vivres pour la route ils sont peut-ĂȘtre Ă©puisĂ©s. On ne sait pas depuis combien de temps il est sorti de son logis ; ce peut ĂȘtre depuis plusieurs jours car s'il ne trouve pas de refuge il part Ă  sa quĂȘte et peut parcourir des kilomĂštres par bonds successifs et ĂȘtre affamĂ©. Cette faim ne le rend pas d'humeur agrĂ©able ce qui n'est pas le cas autrement et en principe. Un vieil adage un essaim ne pique pas » Ă  prendre avec circonspection ! De plus ce sirop l'engage Ă  commencer Ă  construire ses rayons, dans la nuit, ce qui diminue le risque d'un Ă©ventuel abandon de la ruche. La dĂ©sertion est toujours possible mĂȘme 2/3 jours aprĂšs et si l'on possĂšde d'autres ruches il est bien de donner, avant la mise en ruche dĂ©finitive, un cadre avec du couvain frais oeufs et larves, sans abeilles cela le fixera d'avantage et si toutefois lors de la capture la reine n'avait pas Ă©tĂ© prise ou blessĂ©e ou perdue, les abeilles pourront en Ă©lever aussitĂŽt une autre sur ce couvain. Un petit rappel une ruche doit toujours ĂȘtre Ă©quipĂ©e de tous ses cadres sinon les abeilles se logent systĂ©matiquement dans tout espace vide pour construire des rayons dits sauvages » avec les ennuis que cela comporte par la suite pour l'apiculteur. Parfois aussi on trouve plusieurs grappes autour de l'endroit oĂč vous le recueillez ; l'essaim possĂšde plusieurs reines dont des vierges qui sont un peu fofolles » ; le mieux est de rĂ©unir tout le monde plus tĂŽt que de les conserver sĂ©parĂ©s. Dans la nuit, Ă  la cave, les reines s'arrangeront entre-elles et il n'en restera qu'une. Il faut savoir aussi qu'il existe des essaims dits de misĂšre » Cela se rencontre dĂšs la sortie de l'hiver ou lors d'un Printemps pourri » ou encore en Juillet mois de disette... en gĂ©nĂ©ral ; n'ayant plus de provisions les abeilles tentent le tout pour le tout et Ă©migrent, abandonnant leur ruche ; en gĂ©nĂ©ral ils sont chĂ©tifs mais avec des soins ils peuvent devenir de bonnes colonies. Une fois votre essaim enruchĂ© et suivant sa taille et les conditions mĂ©tĂ©o il n'est jamais superflu d'aider cette nouvelle colonie Ă  bĂątir ses rayons par un nourrissement au sirop 50/50 Ă  raison de 2L par semaine pendant un mois soit 10 kg de sucre. Se mĂ©fier du sirop au miel qui fermentant facilement est rapidement dĂ©laissĂ© s'il n'est pris aussitĂŽt et qui attire les tous les cas il faut rĂ©duire l'entrĂ©e Ă  4/5 abeilles pour Ă©viter un carnage le pillage. Dicton un essaim de mai vaut vache Ă  lait ; de Juin une botte de foin ;! Essaim de Mai vaut vache Ă  lait ; essaim de Juin botte de foin » Comment interprĂ©ter ce dicton ? En Mai il s'agit probablement d'un essaim primaire, avec une reine dĂ©jĂ  ĂągĂ©e accompagnĂ©e d'une grosse population le standard 3 Kg soit 30000 abeilles ; cela peut aller jusqu'Ă  10 kg car il arrive que plusieurs essaims se regroupent en un seul. Le volume d'un ballon de foot correspond Ă  15000 abeilles env. Donc un essaim primaire, suivant sa taille et la floraison-chaleur-humiditĂ©, est capable de bĂątir ses 10 cadres Dadant dans la semaine et de poursuivre avec deux hausses de miel. C'est donc le plus rentable dans l'immĂ©diat mais il faudra songer Ă  remplacer sa reine qui ayant donnĂ© une grande partie de son potentiel de ponte ne pourra peut-ĂȘtre pas assumer le rĂ©veil du Printemps suivant. Un mois aprĂšs sa prise l'essaim aura perdu la moitiĂ© de sa population dĂ©cimĂ©e par le travail ; il faut attendre que le couvain vienne Ă  terme pour que la colonie retrouve, peu Ă  peu, une population normale. En Juin une bonne partie des floraisons est passĂ©e et des essaims plus petits vont se faire prendre. En les aidants de diverses maniĂšres nourrissement, apport de couvain operculĂ©, rĂ©unions ce sont des essaims qui possĂ©dant une jeune reine seront les meilleures ruches l'annĂ©e suivante. En effet selon un autre axiome, certainement le plus juste tant vaut la reine, tant vaut la ruche ! ». Nourrir un nouvel essaim d'abeille Faut-il nourrir un essaim d’abeilles ? Oui surtout si la mĂ©tĂ©o est mauvaise. Voici une recette facile Ă  mettre en Ɠuvre pour le nourrissage de vos nouvelles protĂ©gĂ©es. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale l'essaimage se produit en pĂ©riode de forte miellĂ©e et les abeilles dĂ©mĂ©nagent avec elles un peu du miel qu'elles avaient stockĂ© dans leur ruche d'origine. Elles en laissent quand mĂȘme aux copines qui sont restĂ©es dans l'ancienne colonie Donc naturellement tout est prĂ©vu pour que les abeilles rĂ©ussissent leur essaimage et leur installation dans leur nouvelle maison. Mais, comme toujours il peut y avoir des ratĂ©s. Pour cette raison, les apiculteurs nourrissent toujours leurs nouveaux essaims. L'idĂ©al, parce que c'est leur nourriture naturelle, serait de leur donner du miel mais si c'est votre 1Ăšre ruche, et Ă  moins de se ruiner, ça ne va pas ĂȘtre possible. Une petite recette de sirop Ă  leur donner dans un nourrisseur couvre-cadres, c'est mieux 5KG de sucre blanc ou brun, bio c'est mieux 3L d'eau Faites chauffer lĂ©gĂšrement jusqu'Ă  dissolution Une fois dissout, coupez le feu et ajouter une cuillĂšre Ă  soupe de vinaigre de cidre pour favoriser la digestion, le sucre Ă©tant du saccharose beaucoup moins digeste pour l'abeille que le nectar composĂ© de fructose ou de glucose J'y ajoute 1 ou 2 gouttes de HE de sarriette des montagnes qui favorise les dĂ©fenses immunitaires des abeilles notamment contre la nosĂ©mose... VoilĂ ! Bon appĂ©tit les filles par carmen notre apicultrice conseil. Retour Ă  l'accueil du rucher bio

combien de temps laisser un essaim dans une ruchette